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Au Canada, la violence familiale compte pour plus d’un quart de tous les crimes violents rapportés et la grande majorité de ces crimes sont commis contre les femmes. Les enfants vivent le traumatisme de la violence familiale en tant que témoins de cette violence et, dans plusieurs cas, de l’abus physique et émotionnel.

Même à ça, environ 80% de la violence familiale n’est pas rapporté faisant en sorte que cette crise excède de beaucoup ce que nous voyons et savons à la surface.

Durant la pandémie de la COVID-19, les personnes vivant de la violence familiale sont maintenant obligés de s’isoler à la maison avec leurs agresseurs. Les mesures de distanciation physiques ainsi que les pertes d’emploi, l’instabilité financière, les fermetures publiques, le stress des responsabilités familiales et l’isolation des réseaux sociaux mettent des pressions extrêmes sur les ménages.

Sans grande surprise, le personnel aux centres de santé communautaires (CSCs) à travers le pays reçoivent de plus en plus d’appels et d’autres entretiens liés à la violence familiale, surtout avec des femmes.

« La plupart des choses que les gens feraient autrefois pour gérer et sortir de la sortir de la maison sont maintenant fermés ou interdits », indique Elizabete Halprin, une travailleuse sociale à Norwest Co-op Community Health Centre à Winnipeg où elle est responsable pour le programme de violence familiale qui inclut des services de counselling et thérapie pour les femmes et enfants.

« Déjà, nous avons vu une augmentation du nombre d’appel cinq fois plus élevé dans quelques semaines seulement de femmes à la recherche d’aide », explique Halprin qui confirme le raisonnement d’avoir étendu les heures de leur ligne d’appui appelé A Woman’s Place. « Durant ces appels, les femmes posent des questions au sujet de la séparation, le divorce, le droit de garde et de l’aide avec leur santé mentale. Certaines ont mentionné qu’elles utilisent de l’alcool ou d’autres substances plus fréquemment pour s’en sortir. »

À Toronto, le Black Creek Community Health Centre, dans le quartier Jane and Finch, a reçu récemment un appel de santé mentale d’une jeune femme qui a graduellement confié qu’elle est devenue victime de violence familiale durant la pandémie et a de la difficulté à comprendre quoi faire.

« La violence familiale est un enjeu de santé grave avec plusieurs couches et de la honte pour bien du monde, dit Cheryl Prescod, directrice générale au CSC Black Creek. Nous savons que les femmes qui font appel aux centres de santé communautaires auront l’aide qu’ils ont besoin et nous serons ici pour elles peu importe où elles sont dans leur démarches grâce à nos services et à travers de partenariats locaux. »

Un des plus récents partenariats du CSC Black Creek est avec le North York Women’s Shelter où le CSC sera co-localisé pour offrir des services de santé primaire aux femmes qui y sont ainsi que celles de la communauté faisant face à la violence familiale.

Sur la côte est, l’Antigonish Women’s Resource Centre and Sexual Assault Services Association est un centre de santé communautaire desservant les petites communautés et villages ruraux dans la région d’Antigonish en Nouvelle-Écose. Leurs services de santé primaires et sociaux incluent un centre d’abus sexuel, du counselling thérapeutique et les services d’une infirmière d’examen de l’abus sexuel qui travaille de près avec les maisons de transition locales pour référer les femmes aux appuis spécifiques dans les cas de violence familiale. Le CSC raffine beaucoup de ses services et programmes continus pour faire face aux impactes genrés de la COVID-19.

« Il y a certainement une augmentation de la violence familiale qui fait partie d’une tendance plus lourde que nous voyons par rapport à l’impact de cette pandémie sur les femmes », indique la directrice générale de l’organisme Wyanne Sandler.

« Les femmes font face à des risques de santé accrus à chaque jour en raison de leur représentation plus élevée dans les emplois vulnérables en première ligne, les exigences de leurs responsabilités ménagères, le manque de garderies et d’autres lacunes et iniquités systémiques. Celles-ci s’intersectent et s’accumulent encore plus durant cette pandémie. »

Sandler dit qu’il y a des défis particuliers à appuyer les filles et les femmes vivant ces risques et impacts, dont la violence familiale, dans un contexte rural et des communautés plus petites en raison de la confidentialité et des opportunités sociales et économiques limitées. Janice Abbott, PDG du Atira Women’s Resource Society, de la Colombie-Britannique, répète ce message au sujet du pic de cas de violence contre les femmes et sa connexion à des iniquités sociales, économiques et sanitaires plus larges.

« Nous sommes encourager de voir que l’attention du public est porté à ce pic de violence contre les femmes durant la pandémie, indique Abbott, mais nous devons nous assurer que le public et des décideurs politiques de garder ce focus et s’engagent à adresser les causes profondes qui sont imbriqués dans des iniquités sociales et économiques et renforcés par la misogynie, le racisme, le capacitisme, l’âgisme et d’autres formes d’oppression. Ce sont tous des enjeux systémiques nécessitant des réponses politiques significatives et systémiques. »

Son organisme s’adapte et augmente aussi ses efforts pour adresser les impacts que ressentent les femmes durant la pandémie dont le pic de violence. En tant que center de santé communautaire desservant la région de Vancouver, Surrey, Burnaby et White Rock, l’Atira Women’s Resource Society offre du logement, de l’abri, des soins communautaires et primaires ainsi que d’autres services et programmes pour les femmes faisant face à la violence.

Un élément central de leur réponse à COVID-19 a été l’ouverture d’une ligne d’urgence pour les femmes qui ont besoin de nourriture, provisions et/ou d’appui émotionnel ainsi que l’ouverture d’une maison de transition temporaire de 49 unités à Vancouver. Elles ont aussi créé un partenariat avec le gouvernement provincial et l’autorité de santé local pour ouvrir deux centres pour offrir de l’abri et des soins à des gens qui sont sans-abris et infecté par la COVID-19. De plus, Atira a ouvert une tente de répit près du parc Oppenheimer dans la partie est du centre-ville de Vancouver qui offre aux femmes du répit du chaos et de la violence de la vie de rue.

Ces efforts combinés durant la pandémie s’ajoutent au cœur grandissant de centres de santé communautaires en première ligne de la prévention, des soins et de l’appui aux individus sans-abri.

À travers le Canada, les centre de santé communautaire (CSCs) offrent des services de santé primaire, de promotion de la santé et d’appui social pour les individus et familles en mettant souvent l’accent sur les communautés vulnérables et isolées. Des travailleurs sociaux et de réduction de méfaits approchent les individus et groupes sans abris pour vérifier leur santé et bien-être général. Plusieurs CSCs ont des programmes de repas et offrent des sites d’injections sûrs, des trousses d’hygiène et d’urgence, et aident à connecter les sans-abris à des abris et du logement

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Au Canada, la violence familiale compte pour plus d’un quart de tous les crimes violents rapportés et la grande majorité de ces crimes sont commis contre les femmes. Les enfants vivent le traumatisme de la violence familiale en tant que témoins de cette violence et, dans plusieurs cas, de l’abus physique et émotionnel.
Même à ça, environ 80% de la violence familiale n’est pas rapporté faisant en sorte que cette crise excède de beaucoup ce que nous voyons et savons à la surface.
Durant la pandémie de la COVID-19, les personnes vivant de la violence familiale sont maintenant obligés de s’isoler à la maison avec leurs agresseurs. Les mesures de distanciation physiques ainsi que les pertes d’emploi, l’instabilité financière, les fermetures publiques, le stress des responsabilités familiales et l’isolation des réseaux sociaux mettent des pressions extrêmes sur les ménages.
Sans grande surprise, le personnel aux centres de santé communautaires (CSCs) à travers le pays reçoivent de plus en plus d’appels et d’autres entretiens liés à la violence familiale, surtout avec des femmes.
« La plupart des choses que les gens feraient autrefois pour gérer et sortir de la sortir de la maison sont maintenant fermés ou interdits », indique Elizabete Halprin, une travailleuse sociale à Norwest Co-op Community Health Centre à Winnipeg où elle est responsable pour le programme de violence familiale qui inclut des services de counselling et thérapie pour les femmes et enfants.
« Déjà, nous avons vu une augmentation du nombre d’appel cinq fois plus élevé dans quelques semaines seulement de femmes à la recherche d’aide », explique Halprin qui confirme le raisonnement d’avoir étendu les heures de leur ligne d’appui appelé A Woman’s Place. « Durant ces appels, les femmes posent des questions au sujet de la séparation, le divorce, le droit de garde et de l’aide avec leur santé mentale. Certaines ont mentionné qu’elles utilisent de l’alcool ou d’autres substances plus fréquemment pour s’en sortir. »
À Toronto, le Black Creek Community Health Centre, dans le quartier Jane and Finch, a reçu récemment un appel de santé mentale d’une jeune femme qui a graduellement confié qu’elle est devenue victime de violence familiale durant la pandémie et a de la difficulté à comprendre quoi faire.
« La violence familiale est un enjeu de santé grave avec plusieurs couches et de la honte pour bien du monde, dit Cheryl Prescod, directrice générale au CSC Black Creek. Nous savons que les femmes qui font appel aux centres de santé communautaires auront l’aide qu’ils ont besoin et nous serons ici pour elles peu importe où elles sont dans leur démarches grâce à nos services et à travers de partenariats locaux. »
Un des plus récents partenariats du CSC Black Creek est avec le North York Women’s Shelter où le CSC sera co-localisé pour offrir des services de santé primaire aux femmes qui y sont ainsi que celles de la communauté faisant face à la violence familiale.
Sur la côte est, l’Antigonish Women’s Resource Centre and Sexual Assault Services Association est un centre de santé communautaire desservant les petites communautés et villages ruraux dans la région d’Antigonish en Nouvelle-Écose. Leurs services de santé primaires et sociaux incluent un centre d’abus sexuel, du counselling thérapeutique et les services d’une infirmière d’examen de l’abus sexuel qui travaille de près avec les maisons de transition locales pour référer les femmes aux appuis spécifiques dans les cas de violence familiale. Le CSC raffine beaucoup de ses services et programmes continus pour faire face aux impactes genrés de la COVID-19.
« Il y a certainement une augmentation de la violence familiale qui fait partie d’une tendance plus lourde que nous voyons par rapport à l’impact de cette pandémie sur les femmes », indique la directrice générale de l’organisme Wyanne Sandler.
« Les femmes font face à des risques de santé accrus à chaque jour en raison de leur représentation plus élevée dans les emplois vulnérables en première ligne, les exigences de leurs responsabilités ménagères, le manque de garderies et d’autres lacunes et iniquités systémiques. Celles-ci s’intersectent et s’accumulent encore plus durant cette pandémie. »
Sandler dit qu’il y a des défis particuliers à appuyer les filles et les femmes vivant ces risques et impacts, dont la violence familiale, dans un contexte rural et des communautés plus petites en raison de la confidentialité et des opportunités sociales et économiques limitées. Janice Abbott, PDG du Atira Women’s Resource Society, de la Colombie-Britannique, répète ce message au sujet du pic de cas de violence contre les femmes et sa connexion à des iniquités sociales, économiques et sanitaires plus larges.
« Nous sommes encourager de voir que l’attention du public est porté à ce pic de violence contre les femmes durant la pandémie, indique Abbott, mais nous devons nous assurer que le public et des décideurs politiques de garder ce focus et s’engagent à adresser les causes profondes qui sont imbriqués dans des iniquités sociales et économiques et renforcés par la misogynie, le racisme, le capacitisme, l’âgisme et d’autres formes d’oppression. Ce sont tous des enjeux systémiques nécessitant des réponses politiques significatives et systémiques. »
Son organisme s’adapte et augmente aussi ses efforts pour adresser les impacts que ressentent les femmes durant la pandémie dont le pic de violence. En tant que center de santé communautaire desservant la région de Vancouver, Surrey, Burnaby et White Rock, l’Atira Women’s Resource Society offre du logement, de l’abri, des soins communautaires et primaires ainsi que d’autres services et programmes pour les femmes faisant face à la violence.
Un élément central de leur réponse à COVID-19 a été l’ouverture d’une ligne d’urgence pour les femmes qui ont besoin de nourriture, provisions et/ou d’appui émotionnel ainsi que l’ouverture d’une maison de transition temporaire de 49 unités à Vancouver. Elles ont aussi créé un partenariat avec le gouvernement provincial et l’autorité de santé local pour ouvrir deux centres pour offrir de l’abri et des soins à des gens qui sont sans-abris et infecté par la COVID-19. De plus, Atira a ouvert une tente de répit près du parc Oppenheimer dans la partie est du centre-ville de Vancouver qui offre aux femmes du répit du chaos et de la violence de la vie de rue.
Ces efforts combinés durant la pandémie s’ajoutent au cœur grandissant de centres de santé communautaires en première ligne de la prévention, des soins et de l’appui aux individus sans-abri.
À travers le Canada, les centre de santé communautaire (CSCs) offrent des services de santé primaire, de promotion de la santé et d’appui social pour les individus et familles en mettant souvent l’accent sur les communautés vulnérables et isolées. Des travailleurs sociaux et de réduction de méfaits approchent les individus et groupes sans abris pour vérifier leur santé et bien-être général. Plusieurs CSCs ont des programmes de repas et offrent des sites d’injections sûrs, des trousses d’hygiène et d’urgence, et aident à connecter les sans-abris à des abris et du logement

 

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