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Les centres de santé communautaires (CSCs) à travers le Canada prennent des mesures importantes pour appuyer les aînés durant la pandémie puisqu’il y a des inquiétudes croissantes sur l’effet de l’isolation additionnelle sur leur santé et bien-être.
Bien que l’isolation ne soit pas un nouveau problème pour les aînés, l’isolation en plus de la distanciation physique et la fermeture de grand nombre de services et commerces a coupé les connexions et supports sur lesquels les aînés s’appuient. L’isolation sociale est liée à un grand nombre de facteurs de risques et des pires résultats de santé, et ceux-ci peuvent des fois être la différence entre la vie et la mort pour les aînés.
« Avant la pandémie, beaucoup d’aînés faisaient déjà face à beaucoup de barrières pour rester connecter et accéder à des supports sociaux et de santé, affirme Joanne Shenn, directrice du counselling de la Saskatoon Community Clinic. Pour beaucoup de clients plus âgés dans nos communautés, le fait de venir à nos installations était l’une des seules connexions qu’ils avaient à l’extérieur de la maison parce nous sommes organisés délibérément en tenant compte de leurs limitations. »
Depuis le début du confinement, le centre de santé communautaire a dû suspendre ces programmes offerts en personne et se réorganiser pour rester en contact et appuyer les clients plus âgés. Tout le département que gère Schenn à ce centre de santé communautaire s’est réorienté d’une programmation de counselling en groupe en personne vers des appels de suivis quotidiens avec des clients plus âgés, des consultations à domicile et de la livraison des paniers de nourriture tout en respectant les précautions de sécurité rigoureuses.
« Les clients que nous desservons font face à des besoins et barrières importants et la majorité d’entre eux risquent tomber à travers des fissures si nous ne sommes pas là pour eux, explique Joanne Schenn. Nous faisons notre possible pour rester connecter, disponibles et trouver des façons novatrices pour appuyer les aînés isolés et d’autres groupes vulnérables durant la pandémie. »
Au London InterCommunity Health Centre en Ontario, les membres de l’équipe se sont adaptés et improvisent régulièrement pour rester en contact avec des clients plus âgés.
« Nos clients plus âgés ont peur d’attraper la COVID-19 au point où ils ont peur de sortir pour des biens essentiels ou même aller prendre une marche », explique Adriana Diaz, gestionnaire de programmes ethnoculturels, de diabète et de santé alliée, qui mène les soins globaux et supports pour les aînés du centre de santé communautaire.
« L’isolement social a un impact sur tellement d’éléments différents tel que l’accès à la nourriture. Donc la livraison de la nourriture et la conception d’un plan pour accéder à la nourriture font maintenant partie de notre service. »
Diaz explique que les aînés vivent plus de solitude, d’anxiété et de dépression qu’avant. Pour assurer l’accès équitable à de l’information opportun et fiable durant le confinement, le centre de santé communautaire basé à London a sondé sa clientèle aussitôt que possible pour déterminer leur accès à des cellulaires et Internet et pour documenter leurs emplacements physiques.
De cette façon, ils peuvent rejoindre tous les aînés avec les ressources requises et ajustées à leurs besoins spécifiques. Le CSC a développé des sessions de santé virtuelles et des groupes WhatsApp, envoyé des ressources par courriel dans plusieurs langues et envoyé des paquets d’information importante par la poste. À L’Ardoise, Nouvelle-Écosse, l’équipe du Dr. Kingston Memorial Community Health Centre s’est tourné vers les médias sociaux dans leurs efforts les plus récents pour mitiger l’isolement social. « Nous avons lancé un groupe Facebook qui s’appelle What does social isolation look like? pour encourager les gens à s’exprimer et partager leurs expériences de façon créative à travers du format artistique de leur choix », dit Michele MacPhee, coordonnatrice de la sécurité des aînés et coordonnatrice d’inclusion sociale au centre de santé situé dans une région rurale du Cap Breton.
« La participation a été significative et les aînés ont contribué la majorité du contenu à date. Ça l’a été un lien important et nous a permis de rester en contact avec plus que juste des appels et les autres méthodes virtuelles que nous utilisons. »
À l’ouest, dans une grande région rurale du Sunshine Coast en Colombie-Britannique, le Pender Harbour Health Centre se tourne vers des méthodes plus traditionnelles de connexion sociale pour contrer l’isolement chez les aînés.
« Plus de 50% de la population de Pender Harbour est âgée de plus de 65 ans et plusieurs vivent en campagne sans accès à Internet, indique Susann Richter, la cheffe de l’exploitation du centre de santé communautaire. En plus de changer certains de nos programmes de soins en personne vers une combinaison d’en personne et de télésanté, nous avons augmenté notre programme d’arbre téléphonique qui donne la chance aux aînés de faire des appels sur le bien-être d’un et l’autre en gardant la distance physique. »
Ceci s’ajoute au programme de correspondance que le centre de santé communautaire organise qui est une autre forme de connexion thérapeutique pour les aînés qui ne se limite pas aux technologiques numériques.
À travers le Canada, les centre de santé communautaire (CSCs) offrent des services de santé primaire, de promotion de la santé et d’appui social pour les individus et familles en mettant souvent l’accent sur les communautés vulnérables et isolées dont les aînés. À travers des visites virtuelles et à la maison, des soins médicaux, la livraison de nourriture et de prescriptions, des services de transport et de logement ainsi que d’autres méthodes, les centres de santé communautaires travaillent fort pour s’assurer que personne ne soit laisser dernière durant la pandémie de la COVID-19.
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Bien que l’isolation ne soit pas un nouveau problème pour les aînés, l’isolation en plus de la distanciation physique et la fermeture de grand nombre de services et commerces a coupé les connexions et supports sur lesquels les aînés s’appuient. L’isolation sociale est liée à un grand nombre de facteurs de risques et des pires résultats de santé, et ceux-ci peuvent des fois être la différence entre la vie et la mort pour les aînés.
« Avant la pandémie, beaucoup d’aînés faisaient déjà face à beaucoup de barrières pour rester connecter et accéder à des supports sociaux et de santé, affirme Joanne Shenn, directrice du counselling de la Saskatoon Community Clinic. Pour beaucoup de clients plus âgés dans nos communautés, le fait de venir à nos installations était l’une des seules connexions qu’ils avaient à l’extérieur de la maison parce nous sommes organisés délibérément en tenant compte de leurs limitations. »
Depuis le début du confinement, le centre de santé communautaire a dû suspendre ces programmes offerts en personne et se réorganiser pour rester en contact et appuyer les clients plus âgés. Tout le département que gère Schenn à ce centre de santé communautaire s’est réorienté d’une programmation de counselling en groupe en personne vers des appels de suivis quotidiens avec des clients plus âgés, des consultations à domicile et de la livraison des paniers de nourriture tout en respectant les précautions de sécurité rigoureuses.
« Les clients que nous desservons font face à des besoins et barrières importants et la majorité d’entre eux risquent tomber à travers des fissures si nous ne sommes pas là pour eux, explique Joanne Schenn. Nous faisons notre possible pour rester connecter, disponibles et trouver des façons novatrices pour appuyer les aînés isolés et d’autres groupes vulnérables durant la pandémie. »
L’ÉQUIPE DU LONDON INTERCOMMUNITY HEALTH CENTRE PRÉPARE DES PAQUETS DE NOURRITURR POUR LIVRER À DES CLIENTS ISOLÉS.
Au London InterCommunity Health Centre en Ontario, les membres de l’équipe se sont adaptés et improvisent régulièrement pour rester en contact avec des clients plus âgés.
« Nos clients plus âgés ont peur d’attraper la COVID-19 au point où ils ont peur de sortir pour des biens essentiels ou même aller prendre une marche », explique Adriana Diaz, gestionnaire de programmes ethnoculturels, de diabète et de santé alliée, qui mène les soins globaux et supports pour les aînés du centre de santé communautaire.
« L’isolement social a un impact sur tellement d’éléments différents tel que l’accès à la nourriture. Donc la livraison de la nourriture et la conception d’un plan pour accéder à la nourriture font maintenant partie de notre service. »
Diaz explique que les aînés vivent plus de solitude, d’anxiété et de dépression qu’avant. Pour assurer l’accès équitable à de l’information opportun et fiable durant le confinement, le centre de santé communautaire basé à London a sondé sa clientèle aussitôt que possible pour déterminer leur accès à des cellulaires et Internet et pour documenter leurs emplacements physiques.
De cette façon, ils peuvent rejoindre tous les aînés avec les ressources requises et ajustées à leurs besoins spécifiques. Le CSC a développé des sessions de santé virtuelles et des groupes WhatsApp, envoyé des ressources par courriel dans plusieurs langues et envoyé des paquets d’information importante par la poste. À L’Ardoise, Nouvelle-Écosse, l’équipe du Dr. Kingston Memorial Community Health Centre s’est tourné vers les médias sociaux dans leurs efforts les plus récents pour mitiger l’isolement social. « Nous avons lancé un groupe Facebook qui s’appelle What does social isolation look like? pour encourager les gens à s’exprimer et partager leurs expériences de façon créative à travers du format artistique de leur choix », dit Michele MacPhee, coordonnatrice de la sécurité des aînés et coordonnatrice d’inclusion sociale au centre de santé situé dans une région rurale du Cap Breton.
« La participation a été significative et les aînés ont contribué la majorité du contenu à date. Ça l’a été un lien important et nous a permis de rester en contact avec plus que juste des appels et les autres méthodes virtuelles que nous utilisons. »
À l’ouest, dans une grande région rurale du Sunshine Coast en Colombie-Britannique, le Pender Harbour Health Centre se tourne vers des méthodes plus traditionnelles de connexion sociale pour contrer l’isolement chez les aînés.
« Plus de 50% de la population de Pender Harbour est âgée de plus de 65 ans et plusieurs vivent en campagne sans accès à Internet, indique Susann Richter, la cheffe de l’exploitation du centre de santé communautaire. En plus de changer certains de nos programmes de soins en personne vers une combinaison d’en personne et de télésanté, nous avons augmenté notre programme d’arbre téléphonique qui donne la chance aux aînés de faire des appels sur le bien-être d’un et l’autre en gardant la distance physique. »
Ceci s’ajoute au programme de correspondance que le centre de santé communautaire organise qui est une autre forme de connexion thérapeutique pour les aînés qui ne se limite pas aux technologiques numériques.
À travers le Canada, les centre de santé communautaire (CSCs) offrent des services de santé primaire, de promotion de la santé et d’appui social pour les individus et familles en mettant souvent l’accent sur les communautés vulnérables et isolées dont les aînés. À travers des visites virtuelles et à la maison, des soins médicaux, la livraison de nourriture et de prescriptions, des services de transport et de logement ainsi que d’autres méthodes, les centres de santé communautaires travaillent fort pour s’assurer que personne ne soit laisser dernière durant la pandémie de la COVID-19.
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