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Lorsque la pandémie de COVID-19 a fait en sorte que les portes des centres de santé communautaires ont dû se fermer à beacoup de rendez-vous en personne, leurs équipes se sont activés rapidement pour continuer à desservir leurs communautés et leurs clientèles.

« Ça l’a été un ajustement complet de la livraison des soins primaires, confirme Janice Bilodeau, gestionnaire du Centre de santé de Clare (N.-É.). Nous offrons maintenant 80% de nos rendez-vous par téléphone et on fait une vérification des symptômes avant par téléphone pour ceux qui doivent prendre un rendez-vous en personne. L’infirmière de pratique familiale a aussi appelé tous les gens isolés. »

Ce ne sont pas juste les rendez-vous médicaux qui se font maintenant par téléphone. Au Centre de santé communautaire du Témiskaming (Ont.), ces ajustements ont fait en sorte que le personnel s’est inquiété que les aînés qu’ils desservent seraient isolés : ils ont appelé chaque client de plus de 60 ans ainsi que les personnes plus vulnérables.

« Les gens ont apprécié et environ 10% veulent des suivis réguliers, affirme Nadia Pelletier-Lavigne, coordonnatrice de programmation communautaire. On veut régler les choses en amont et non à l’urgence. »

Le personnel infirmier qui a fait ses appels à vérifier la sécurité alimentaire, l’accès aux médicaments et le risque d’isolement de cette clientèle. Ceux qui veulent peuvent recevoir des appels hebdomadaires et savoir qu’il y a quelqu’un à l’écoute. « On connaît notre clientèle », rappelle Michel Mayer, directeur général du Centre de santé Univi (Ont.).

Dans son coin du pays, ça veut dire une reconnaissance que ce n’est pas tous les clients qui ont accès à Internet à haute vitesse donc il y a plus de rendez-vous par téléphone que par vidéoconférence.

Certains de ces changements pourront perdurer une fois que la pandémie est passée. « On ne retournera pas à la vielle normale », dit-il.

Pour l’instant, les portes sont barrées et ceux qui doivent venir sur place pour un rendez-vous doivent appeler et rentrer par la porte de côté. Pour les employés, il y a de la distanciation physique, même au dîner ce qui fait un peu bizarre.

C’est une situation semblable en Nouvelle-Écosse : les professionnels de la santé portent des masques, il y a un nettoyage après chaque personne, plus de temps entre les patients et ils restent moins longtemps dans la salle d’attente et se font voir presque immédiatement. Tout ceci pour réduire la chance de propagation du virus (dans une région où il n’y a encore aucun cas confirmé).

« C’est trop tôt pour dire quels changements qu’on va garder, dit Mme Bilodeau. Ça dépend des services que le gouvernement va enlever. »

Dans bien des endroits, des exceptions font en sorte que les médecins peuvent être payés sans voir les clients ‘dans le blanc des yeux’, mais le renouvellement de certaines prescriptions par téléphone, par exemple, pourrait être un type de service qui pourrait continuer par après puisque ça sauve du temps aux clients, aux professionnels et à l’administration.

Pour Mme Bilodeau, ça ne sera pas à elle de prendre ces décisions. Après une longue carrière dédiée à servir sa communauté, elle prend maintenant sa retraite et ces changements au cours des derniers mois n’ont été qu’un dernier test. Elle passe maintenant le flambeau à Chantal Pothier qui assurera que le Centre de santé de Clare continue à bien servir les résidents de la région.

Bien que les visites en personne aux CSC soient limités, ils sont tous en train de répondre à l’appel et aux appels de leurs clients.

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« Ça l’a été un ajustement complet de la livraison des soins primaires, confirme Janice Bilodeau, gestionnaire du Centre de santé de Clare (N.-É.). Nous offrons maintenant 80% de nos rendez-vous par téléphone et on fait une vérification des symptômes avant par téléphone pour ceux qui doivent prendre un rendez-vous en personne. L’infirmière de pratique familiale a aussi appelé tous les gens isolés. »
Ce ne sont pas juste les rendez-vous médicaux qui se font maintenant par téléphone. Au Centre de santé communautaire du Témiskaming (Ont.), ces ajustements ont fait en sorte que le personnel s’est inquiété que les aînés qu’ils desservent seraient isolés : ils ont appelé chaque client de plus de 60 ans ainsi que les personnes plus vulnérables.
« Les gens ont apprécié et environ 10% veulent des suivis réguliers, affirme Nadia Pelletier-Lavigne, coordonnatrice de programmation communautaire. On veut régler les choses en amont et non à l’urgence. »
Le personnel infirmier qui a fait ses appels à vérifier la sécurité alimentaire, l’accès aux médicaments et le risque d’isolement de cette clientèle. Ceux qui veulent peuvent recevoir des appels hebdomadaires et savoir qu’il y a quelqu’un à l’écoute. « On connaît notre clientèle », rappelle Michel Mayer, directeur général du Centre de santé Univi (Ont.).
Dans son coin du pays, ça veut dire une reconnaissance que ce n’est pas tous les clients qui ont accès à Internet à haute vitesse donc il y a plus de rendez-vous par téléphone que par vidéoconférence.
Certains de ces changements pourront perdurer une fois que la pandémie est passée. « On ne retournera pas à la vielle normale », dit-il.
Pour l’instant, les portes sont barrées et ceux qui doivent venir sur place pour un rendez-vous doivent appeler et rentrer par la porte de côté. Pour les employés, il y a de la distanciation physique, même au dîner ce qui fait un peu bizarre.
C’est une situation semblable en Nouvelle-Écosse : les professionnels de la santé portent des masques, il y a un nettoyage après chaque personne, plus de temps entre les patients et ils restent moins longtemps dans la salle d’attente et se font voir presque immédiatement. Tout ceci pour réduire la chance de propagation du virus (dans une région où il n’y a encore aucun cas confirmé).
« C’est trop tôt pour dire quels changements qu’on va garder, dit Mme Bilodeau. Ça dépend des services que le gouvernement va enlever. »
Dans bien des endroits, des exceptions font en sorte que les médecins peuvent être payés sans voir les clients ‘dans le blanc des yeux’, mais le renouvellement de certaines prescriptions par téléphone, par exemple, pourrait être un type de service qui pourrait continuer par après puisque ça sauve du temps aux clients, aux professionnels et à l’administration.
Pour Mme Bilodeau, ça ne sera pas à elle de prendre ces décisions. Après une longue carrière dédiée à servir sa communauté, elle prend maintenant sa retraite et ces changements au cours des derniers mois n’ont été qu’un dernier test. Elle passe maintenant le flambeau à Chantal Pothier qui assurera que le Centre de santé de Clare continue à bien servir les résidents de la région.
Bien que les visites en personne aux CSC soient limités, ils sont tous en train de répondre à l’appel et aux appels de leurs clients.[/cs_content_seo]

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