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Ça n’a pas pris longtemps après la déclaration d’une pandémie pour les centres de santé communautaires qui desservent les communautés francophones et Acadiennes de modifier leur offre de service pour refléter la nouvelle réalité et les nouveaux besoins de leurs clients. En mettant l’accent sur les déterminants sociaux de la santé, pleine de nouvelle programmation a été mise en place rapidement pour régler les choses en amont avant l’urgence.

« Tout au début on a fait une évaluation de ce que les gens veulent faire, sans les bombarder, explique Nadia Pelletier-Lavigne, coordonnatrice de programmation communautaire au Centre de santé communautaire du Témiskaming (New Liskeard, Ontario). On veut garder un peu de normal et contrer l’isolement. »

Trois membres de l’équipe au CSC du Témiskaming, travaillant à partir de la maison, se sont lancés sur l’offre d’activités virtuelles. Un groupe de 25 aînés francophones s’assoient autour de leur téléphone pour recevoir des instructions sur des exercices qu’ils peuvent faire à partir de leur chaise. Entre les instructions, ils peuvent jaser entre eux. Un groupe social a aussi été organisé et est tellement populaire qu’un deuxième commencera bientôt.

« Notre équipe de programmation communautaire est motivée, confirme Michel Mayer, directeur général du Centre de santé Univi (Noëlville, Ontario). Ça prend beaucoup d’organisation et ce n’est pas évident, ça prend plus de coordination. »

Dans quelques semaines seulement, une nouvelle formule a été lancé par ce centre de santé communautaire pour le programme de cuisine communautaire. Les clients viennent ramasser leur trousseau au centre et suivent les instructions de la diététiste par téléphone. Pareil pour le programme de bricolage qui donne la chance aux gens de suivent les instructions pour compléter leur œuvre telle que celle ci-dessous.

Au Centre de santé communautaire du Centre-ville à Ottawa, ce sont les bricolages pour les enfants qui ont pris de l’ampleur. On envoie des crayons aux familles qui bénéficient habituellement du programme parascolaire. Pour les familles avec des enfants plus jeunes, on envoie des couches et des consultations sur l’allaitement au téléphone. Plutôt que faire venir les gens pour chercher leur bac de nourriture, il est maintenant livré grâce à l’appui de partenaires.

« Il y a une solidarité communautaire – on demande à ceux qui peuvent aider d’aller chercher la nourriture et les médicaments pour ceux qui ne peuvent pas, » explique Awa Ngom, agente des communications au CSC du Centre-ville.

« On s’adapte à la situation et aux besoins de nos clients, rajoute-t-elle. On met en place des systèmes qui leurs permettent d’accéder à nos services. »

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« Tout au début on a fait une évaluation de ce que les gens veulent faire, sans les bombarder, explique Nadia Pelletier-Lavigne, coordonnatrice de programmation communautaire au Centre de santé communautaire du Témiskaming (New Liskeard, Ontario). On veut garder un peu de normal et contrer l’isolement. »
Trois membres de l’équipe au CSC du Témiskaming, travaillant à partir de la maison, se sont lancés sur l’offre d’activités virtuelles. Un groupe de 25 aînés francophones s’assoient autour de leur téléphone pour recevoir des instructions sur des exercices qu’ils peuvent faire à partir de leur chaise. Entre les instructions, ils peuvent jaser entre eux. Un groupe social a aussi été organisé et est tellement populaire qu’un deuxième commencera bientôt.
« Notre équipe de programmation communautaire est motivée, confirme Michel Mayer, directeur général du Centre de santé Univi (Noëlville, Ontario). Ça prend beaucoup d’organisation et ce n’est pas évident, ça prend plus de coordination. »
Dans quelques semaines seulement, une nouvelle formule a été lancé par ce centre de santé communautaire pour le programme de cuisine communautaire. Les clients viennent ramasser leur trousseau au centre et suivent les instructions de la diététiste par téléphone. Pareil pour le programme de bricolage qui donne la chance aux gens de suivent les instructions pour compléter leur œuvre telle que celle ci-dessous.
Au Centre de santé communautaire du Centre-ville à Ottawa, ce sont les bricolages pour les enfants qui ont pris de l’ampleur. On envoie des crayons aux familles qui bénéficient habituellement du programme parascolaire. Pour les familles avec des enfants plus jeunes, on envoie des couches et des consultations sur l’allaitement au téléphone. Plutôt que faire venir les gens pour chercher leur bac de nourriture, il est maintenant livré grâce à l’appui de partenaires.
« Il y a une solidarité communautaire – on demande à ceux qui peuvent aider d’aller chercher la nourriture et les médicaments pour ceux qui ne peuvent pas, » explique Awa Ngom, agente des communications au CSC du Centre-ville.
« On s’adapte à la situation et aux besoins de nos clients, rajoute-t-elle. On met en place des systèmes qui leurs permettent d’accéder à nos services. »[/cs_content_seo]

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